Pour la petite histoire manière de se décontracter
il y a bien longtemps que je n'utilise pas et ne relève plus ces ( vérifications ) dans mes montages.Par contre j'attache la plus grande importance aux vérifications des diverses tensions devant être mises en action avec un bon voltmètre numérique et lorsque c'est nécessaire l'ampèremètre. Lecture des datasheet et autres littératures du genre.
Certainement que procéder uniquement comme çà relève d'une assez bonne connaissance on connais pratiquement à l'avance le bon fonctionnement de ces montages ce qui n'empêche nulement de devoir procéder parfois à quelques réajustements ou mises au point. Et ne crois pas que c'est de l'improvisation pour autant.
L'Oscillo et le vobulateur font un gros dodo dans une étagère.
Pour rebondir sur le sujet de Morice , les câbles de modulation platine /pré un élément dont il faut apporter la plus grande attention. je n'apprends rien à la plus part d'entre nous un simple élément du genre inadapté et tout foire et ce ne sera pas la faute au pré ou à la cellule.
Absolument d'accord avec toi, Dudule ; et je ne citais l'oscillo parce qu'il faut bien d'abord contrôler un montage àl 'oscillo (absence d'oscillations parasites, d'écrêtage, réglage de la symétrie, etc.) avant de le mettre au point "à l'oreille" Mais le taux de distorsion n'est pas un critère pertinent puisqu'il s'agit d'une mesure en régime sinusoïdal alors que les signaux musicaux ne le sont pas, et que le théorème de Fourier ne s'applique pas à cause des nombreuses non-linéarités, y compris celle de l'oreille. D'accord.aussi sur le fait que l'alim est primordiale puisqu'un ampli ne fait que moduler le courant fournit par l'alim .et dans mes montages, elle occupe beaucoup plu de place que les amplis proprement dits. Je pense que la seule mesure utile est le rapport signal sur bruit, et la qualité perçue augmente avec ce rapport même quand le bruit n'est plus audible, car il se mélange par intermodulation avec les micro-signaux qui font la qualité de la musique.
Une longue expérience m'a appris que, quand a compris pourquoi beaucoup d'amplis à transistors sonnent moins bien que certains amplis à tube, il est tout à fait possible de faire aussi bien, voire mieux, avec des transistors. .Mais pour travailler sur la contre-réaction il est primordial de maitriser parfaitement la théorie et la pratique des systèmes bouclés, c'est à dire l'Automatique, ce qui est rarement le cas des Hi-Fistes, même électroniciens ; et le nombre de bêtises que j'ai lues sur le sujet fait frémir, même dans des revues "sérieuses" ou des auteurs "réputés".
Il y a des op qui font merveille et n'on pas à complexer face aux divers montages dits en éléments discréts et en prime il est quelques fois permis d'en changer de référence à la manière des tubes c'est peux dire.
Personnellement je n'ai pas d'apriori tube ou trans je crois d'avantage sur la différence de signature sonore et de ces goûts personnels.
Pour avoir travaillé des montages à tubes et connaître en particulier les semi conducteurs .l'apparente la vision somme toute assez pauvre en éléments ( c'est tout relatif ) que constitue un montage à tubes ne simplifie pas les bons résultats.
Il y à forcément des difficulté aux deux concepts.
Un ampli à tubes doit recevoir une alimentation en HT mais avec diodes ou valve ? et là encore les résultats varient énormément.Pour quelqu'un qui métrise bien le savoir faire d'une alimentation pour tubes ce n'est pas très difficile mais encore faut il en être capable car ce n'est qu'une apparente facilité
Je ne nie pas l'importance d'une très bonne alimentation pour le semi conducteur.
Que vaut une alimentation à découpage ( très souvent utilisée ) pour X ou Y raisons face à une alimentation à tubes avec valve.Ce n'est pas ton cas puisque......
Alors les calculs les relevais de signaux à l'oscillo , vobulateur, distorssiomètre etc etc donnent que des valeurs techniques qui ne reflètent pas une valeur sure de bons résultats.
Pour ce qui me concerne et moi seul un taux de distorsions de 0,0000000........et des broutilles c'est trop aseptisé.Mais on constate que c'est plus facile de parvenir a ces résultats avec des semi conducteurs que le tube ne le peux.Pour autant le tube sonne t'il moins bien? non c'est évident et pourtant à l'ossilo y à pas photo.Pour ne prendre que cet exemple.
Toutes ces déductions sont le résultats de pratiques personnelles fondées pour les uns ou pas fondées pour d'autres comme la plus part du temps d'ailleurs .
Pas d'accord sur le fait qu'un préampli RIAA MC ou MM à transistors soit plus facile à réaliser qu'avec des tubes. C'est vrai si on se contente d'un ampli op classique mais le résultat est au niveau du prix : médiocre. Mais l'on veut obtenir avec des transistors (composants discrets ou amplis op.) la même qualité qu'avec des tubes au niveau ouverture de la scène sonore, limpidité, transparence etc., le tout avec un grand gain et un faible niveau de bruit dans toute la bande passante, il faut utiliser des composants de très haute qualité, et un montage à 2 étages en liaison directe avec entrée différentielle vraie derrière la prise XLR, et un taux de RC en continu le plus faible possible. J'ai mis plusieurs mois à mettre le mien au point (à l'oscillo et à l'oreille) et il occupe un gros coffret entier dont plus de la moitié est dédiée à l'alimentation (et pourtant le transfo est dans un coffret séparé) !
C'est peut être mal connaître le sujet de ma part mais j'aimerai comprendre .
Tu me corriges si je me trompe .
Branchement symétriques = fiches XLR = deux conducteurs pour le signal + la masse qui n'interviendrait pas pour le transport du signal et aussi quelques autres avantages comme la longueur des câbles nécessaire bien souvent dans le domaine professionnel.
Si j'ai encore bien compris de ce fait c'est inutile de procéder au divers réglages du prés en fonction de la cellule . C'est pour cela que tu soulignes le fait que ce pré n'est pas compliqué en opposition d'un branchement en asymétrique du AQvox ci 2 je suppose si non je n'en vois pas l’intérêt .
En asymétrique ( pas de XLR ) 1conducteur + la masse qui est traversée aussi par le signal tous les réglages devraient être à effectuer pour accorder au mieux la cellule ( là çà devient plus compliqué pour le débutant ).comme je le souligne plus haut.
En supposant que je ne me trompe pas et quel que soit le mode de connexion adopté ;
Si en XLR c'est meilleur ( pré riaa OUT/ XLR et pré ligne ou ampli IN / XLR ).
Quel est ou serait l’intérêt de disposer des fonctions asymétriques fonctions qui se payent ?.
Je le présente comme tel parce que tu as une réponse plus haut qui précise que : en mode de branchement symétrique le AQ valve ci 2 ne serait pas compliqué .
Pas compliqué certes mais je suppose que toi tu préférés faire tes réglages donc en asymétrique.
Adopter la connexion symétrique en principe n'est pas meilleure en terme de qualité sonore que la connexion asymétrique et vice versa si ce n'est que en symétrique on éliminerait les risques de < parasites > engendrés par les longueurs de câble. Les nôtres en principe restent plutôt courts mais bon ….
Je serais tenté d'approuver ce raisonnement mais force est de constater que certaines réalisations ( tubes ) sont excellentes .Les budjets restent aussi compliqués dans les deux catégories tubes trans...
A tubes c'est probablement plus difficile à concevoir que le tout transistors et si l'on tient compte que ces préamplis peuvent évoluer rien que en changeant des tubes c'est un autre avantage .Maintenant un pré à tubes sera certainement plus exigeant dans le temps pour son entretient.
Un pré à tubes bien conçu n'apportera pas de défauts il apportera sa signature.
Finalement c'est l'éternel débat tubes transistors. Pour faire avancer le débat même s'il est bon de faire la comparaison je m'en remettrait d'avantage sur les expériences vécues par les utilisateurs qui décriront tous les maillons de la chaine et leur ressenti.
Je compare la recherche des meilleures associations à de la cuisine ( un peut de sel,pas trop de poivre ne pas avoir la main lourde sur la tomate etc etc .) c'est une alchimie qui consiste a bien doser les éléments aux autres et il en faut peux pour déséquilibrer tout ou en partie.
Le semi conducteur à des qualités incontestables et permet peut être d'aller plus loin dans la recherche mais il à également son lot de problèmes tout comme le tube. Les gommer c'est justement la difficulté
Il existe effectivement beaucoup de solutions possibles en fonction de la cellule et du budget. Un critère primordial vu le niveau des tension est le rapport signal sur bruit, surtout pour associer à une cellule MC. Or, quelles que soient les qualités des tubes par ailleurs, il leur est physiquement impossible - et de loin - d'atteindre un aussi bon résultat que certains transistors, pour la simple raison qu'il fonctionnent à haute température. Au contraire, avec un étage d'entrée utilisant trois transistors du type MAT03 montés en parallèle, on descend presque au niveau du bruit thermique : impossible de faire mieux, à température ambiante, à moins de plonger l'appareil dans l'azote liquide !
Les diverses écoutes par ces changements de tubes seront assez différentes d'un préamp a un autres aucun ne réagira tout à fait de la même manière des tonnes de paramètres rentrent en jeux . Et le plaisir c'est aussi de rechercher à aller toujours le plus loin possible pour un meilleur résultat.
Si en plus on tient compte souvent de la médiocrité des lieux d'écoutes qui influe notablement sur les résultats . Qui d'entre nous n'à pas rêvé de posséder une pièce pouvant être aménagée pour en faire un auditorium même de taille moyenne et pouvoir développer tout le potentiel de notre matos.
Ce soir j'écoute Nina SIMONE THE Original et dans un tout autre style Chet BAKER SINGS
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Pour la petite histoire manière de se décontracter
il y a bien longtemps que je n'utilise pas et ne relève plus ces ( vérifications ) dans mes montages.Par contre j'attache la plus grande importance aux vérifications des diverses tensions devant être mises en action avec un bon voltmètre numérique et lorsque c'est nécessaire l'ampèremètre. Lecture des datasheet et autres littératures du genre.
Certainement que procéder uniquement comme çà relève d'une assez bonne connaissance on connais pratiquement à l'avance le bon fonctionnement de ces montages ce qui n'empêche nulement de devoir procéder parfois à quelques réajustements ou mises au point. Et ne crois pas que c'est de l'improvisation pour autant.
L'Oscillo et le vobulateur font un gros dodo dans une étagère.
Pour rebondir sur le sujet de Morice , les câbles de modulation platine /pré un élément dont il faut apporter la plus grande attention. je n'apprends rien à la plus part d'entre nous un simple élément du genre inadapté et tout foire et ce ne sera pas la faute au pré ou à la cellule.
Je continue mes recherches sur les pré rias.
dudule
Absolument d'accord avec toi, Dudule ; et je ne citais l'oscillo parce qu'il faut bien d'abord contrôler un montage àl 'oscillo (absence d'oscillations parasites, d'écrêtage, réglage de la symétrie, etc.) avant de le mettre au point "à l'oreille" Mais le taux de distorsion n'est pas un critère pertinent puisqu'il s'agit d'une mesure en régime sinusoïdal alors que les signaux musicaux ne le sont pas, et que le théorème de Fourier ne s'applique pas à cause des nombreuses non-linéarités, y compris celle de l'oreille. D'accord.aussi sur le fait que l'alim est primordiale puisqu'un ampli ne fait que moduler le courant fournit par l'alim .et dans mes montages, elle occupe beaucoup plu de place que les amplis proprement dits. Je pense que la seule mesure utile est le rapport signal sur bruit, et la qualité perçue augmente avec ce rapport même quand le bruit n'est plus audible, car il se mélange par intermodulation avec les micro-signaux qui font la qualité de la musique.
Une longue expérience m'a appris que, quand a compris pourquoi beaucoup d'amplis à transistors sonnent moins bien que certains amplis à tube, il est tout à fait possible de faire aussi bien, voire mieux, avec des transistors. .Mais pour travailler sur la contre-réaction il est primordial de maitriser parfaitement la théorie et la pratique des systèmes bouclés, c'est à dire l'Automatique, ce qui est rarement le cas des Hi-Fistes, même électroniciens ; et le nombre de bêtises que j'ai lues sur le sujet fait frémir, même dans des revues "sérieuses" ou des auteurs "réputés".
Bonjour Yves ,
Il y a des op qui font merveille et n'on pas à complexer face aux divers montages dits en éléments discréts et en prime il est quelques fois permis d'en changer de référence à la manière des tubes c'est peux dire.
Personnellement je n'ai pas d'apriori tube ou trans je crois d'avantage sur la différence de signature sonore et de ces goûts personnels.
Pour avoir travaillé des montages à tubes et connaître en particulier les semi conducteurs .l'apparente la vision somme toute assez pauvre en éléments ( c'est tout relatif ) que constitue un montage à tubes ne simplifie pas les bons résultats.
Il y à forcément des difficulté aux deux concepts.
Un ampli à tubes doit recevoir une alimentation en HT mais avec diodes ou valve ? et là encore les résultats varient énormément.Pour quelqu'un qui métrise bien le savoir faire d'une alimentation pour tubes ce n'est pas très difficile mais encore faut il en être capable car ce n'est qu'une apparente facilité
Je ne nie pas l'importance d'une très bonne alimentation pour le semi conducteur.
Que vaut une alimentation à découpage ( très souvent utilisée ) pour X ou Y raisons face à une alimentation à tubes avec valve.Ce n'est pas ton cas puisque......
Alors les calculs les relevais de signaux à l'oscillo , vobulateur, distorssiomètre etc etc donnent que des valeurs techniques qui ne reflètent pas une valeur sure de bons résultats.
Pour ce qui me concerne et moi seul un taux de distorsions de 0,0000000........et des broutilles c'est trop aseptisé.Mais on constate que c'est plus facile de parvenir a ces résultats avec des semi conducteurs que le tube ne le peux.Pour autant le tube sonne t'il moins bien? non c'est évident et pourtant à l'ossilo y à pas photo.Pour ne prendre que cet exemple.
Toutes ces déductions sont le résultats de pratiques personnelles fondées pour les uns ou pas fondées pour d'autres comme la plus part du temps d'ailleurs .
dudule
Pas d'accord sur le fait qu'un préampli RIAA MC ou MM à transistors soit plus facile à réaliser qu'avec des tubes. C'est vrai si on se contente d'un ampli op classique mais le résultat est au niveau du prix : médiocre. Mais l'on veut obtenir avec des transistors (composants discrets ou amplis op.) la même qualité qu'avec des tubes au niveau ouverture de la scène sonore, limpidité, transparence etc., le tout avec un grand gain et un faible niveau de bruit dans toute la bande passante, il faut utiliser des composants de très haute qualité, et un montage à 2 étages en liaison directe avec entrée différentielle vraie derrière la prise XLR, et un taux de RC en continu le plus faible possible. J'ai mis plusieurs mois à mettre le mien au point (à l'oscillo et à l'oreille) et il occupe un gros coffret entier dont plus de la moitié est dédiée à l'alimentation (et pourtant le transfo est dans un coffret séparé) !
Bonjour
bonjour ci joint le PDF du préampli AQ vox IC2 mk2
'ai fait un câble comme décrit sur le schémas avec2 x1 m en Viard et deux XLR coté préampli et cinch cote cellule.
le résultat et flagrant
regarde les banc d'essai .
http://www.aqvox.de/phono.html
philippe
Bonjour
@ Philippe
C'est peut être mal connaître le sujet de ma part mais j'aimerai comprendre .
Tu me corriges si je me trompe .
Branchement symétriques = fiches XLR = deux conducteurs pour le signal + la masse qui n'interviendrait pas pour le transport du signal et aussi quelques autres avantages comme la longueur des câbles nécessaire bien souvent dans le domaine professionnel.
Si j'ai encore bien compris de ce fait c'est inutile de procéder au divers réglages du prés en fonction de la cellule . C'est pour cela que tu soulignes le fait que ce pré n'est pas compliqué en opposition d'un branchement en asymétrique du AQvox ci 2 je suppose si non je n'en vois pas l’intérêt .
En asymétrique ( pas de XLR ) 1conducteur + la masse qui est traversée aussi par le signal tous les réglages devraient être à effectuer pour accorder au mieux la cellule ( là çà devient plus compliqué pour le débutant ).comme je le souligne plus haut.
En supposant que je ne me trompe pas et quel que soit le mode de connexion adopté ;
Si en XLR c'est meilleur ( pré riaa OUT/ XLR et pré ligne ou ampli IN / XLR ).
Quel est ou serait l’intérêt de disposer des fonctions asymétriques fonctions qui se payent ?.
Je le présente comme tel parce que tu as une réponse plus haut qui précise que : en mode de branchement symétrique le AQ valve ci 2 ne serait pas compliqué .
Pas compliqué certes mais je suppose que toi tu préférés faire tes réglages donc en asymétrique.
Adopter la connexion symétrique en principe n'est pas meilleure en terme de qualité sonore que la connexion asymétrique et vice versa si ce n'est que en symétrique on éliminerait les risques de < parasites > engendrés par les longueurs de câble. Les nôtres en principe restent plutôt courts mais bon ….
Voila ,que dois je en déduire ?
dudule
Bonjour
Je serais tenté d'approuver ce raisonnement mais force est de constater que certaines réalisations ( tubes ) sont excellentes .Les budjets restent aussi compliqués dans les deux catégories tubes trans...
A tubes c'est probablement plus difficile à concevoir que le tout transistors et si l'on tient compte que ces préamplis peuvent évoluer rien que en changeant des tubes c'est un autre avantage .Maintenant un pré à tubes sera certainement plus exigeant dans le temps pour son entretient.
Un pré à tubes bien conçu n'apportera pas de défauts il apportera sa signature.
Finalement c'est l'éternel débat tubes transistors. Pour faire avancer le débat même s'il est bon de faire la comparaison je m'en remettrait d'avantage sur les expériences vécues par les utilisateurs qui décriront tous les maillons de la chaine et leur ressenti.
Je compare la recherche des meilleures associations à de la cuisine ( un peut de sel,pas trop de poivre ne pas avoir la main lourde sur la tomate etc etc .) c'est une alchimie qui consiste a bien doser les éléments aux autres et il en faut peux pour déséquilibrer tout ou en partie.
Le semi conducteur à des qualités incontestables et permet peut être d'aller plus loin dans la recherche mais il à également son lot de problèmes tout comme le tube. Les gommer c'est justement la difficulté
Cordialement dudule
Il existe effectivement beaucoup de solutions possibles en fonction de la cellule et du budget. Un critère primordial vu le niveau des tension est le rapport signal sur bruit, surtout pour associer à une cellule MC. Or, quelles que soient les qualités des tubes par ailleurs, il leur est physiquement impossible - et de loin - d'atteindre un aussi bon résultat que certains transistors, pour la simple raison qu'il fonctionnent à haute température. Au contraire, avec un étage d'entrée utilisant trois transistors du type MAT03 montés en parallèle, on descend presque au niveau du bruit thermique : impossible de faire mieux, à température ambiante, à moins de plonger l'appareil dans l'azote liquide !
Les diverses écoutes par ces changements de tubes seront assez différentes d'un préamp a un autres aucun ne réagira tout à fait de la même manière des tonnes de paramètres rentrent en jeux . Et le plaisir c'est aussi de rechercher à aller toujours le plus loin possible pour un meilleur résultat.
Si en plus on tient compte souvent de la médiocrité des lieux d'écoutes qui influe notablement sur les résultats . Qui d'entre nous n'à pas rêvé de posséder une pièce pouvant être aménagée pour en faire un auditorium même de taille moyenne et pouvoir développer tout le potentiel de notre matos.
Ce soir j'écoute Nina SIMONE THE Original et dans un tout autre style Chet BAKER SINGS
dudule