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Je vous propose à la vente ce superbe DAC sugden :
Ci-joint le texte de l'ancien proprio à l'oreille fine  

SUGDEN DAC SDA2 Philips TDA1541 S1

Je vends cet excellent dac de la grande époque basé sur l’excellente puce philips
TDA1541 de technologie multibit R2R.

texte de l'ancien propriétaire, ci joint ; 

La puce d’origine TDA1541A a été remplacée par une TDA1541 Silver Crown S1.

D’après Lampizator, ce dac de la très réputée SUDGEN, est l’une des meilleures implémentations
électroniques de cette puce de conversion considérée par beaucoup de spécialistes comme l’une
des meilleures jamais réalisée, voire pour certains la meilleure dont Lukasz Fikus, le célèbre concepteur de la marque LAMPIZATOR.

Outre, le changement de la puce TDA1541, l’horloge a également été remplacée par une Femto NOS permettant une réduction du jitter conséquente et finalement le chip de suréchantillonnage (oversampling) a été retiré. Ce dac marche donc en mode NOS total.

Je ne vais pas alimenter la polémique parmi ceux qui sont pour ou contre l’oversampling.

Combien de fois n’ai-je lu et relu des commentaires d’audiophiles très avertis nous affirmant que n’importe quel petit dac moderne bien choisi à 300€ enfoncerait d’excellents dac de l’époque à base de puces multibits R2R.

Et quels n’ont été mes efforts pour tomber d’accord avec de tels arguments. À tel point que j’ai failli laisser tomber une nouvelle fois la hifi après en être revenu voici cinq ans. C’est le dac AMR DP-777

qui m’a sauvé de la fuite il y a un peu moins de trois ans.

Un simple MICROMEGA DUO à base de TDA1541 est pour moi bien plus engageant que tout un tas de dac modernes et réputés entre 1'500 et 2’000€ et parfois au-dessus de cette barre.

Du coup, dès que je repère un dac avec une mesure de « dynamic range » en dessous des 100dB, je lui tombe dessus comme le lion qui fond sur la gazelle blessée.

Je sais, j’ai un problème !
J’ai toujours tout fait à l’envers.
Mais je sais aussi que je ne suis pas le seul à souffrir d’un tel mal. Et comme tout fou qui se respecte, j’ai refusé de me soigner.

Si donc vous souffrez de la même tare que moi, ce SDA 2 pourrait puissamment vous aider à supporter votre effroyable dégénération.

Comme vous l’aurez compris, il ne s’agit pas ici de : sur dimensionnalité de la scène, d’articulation, de définition, de piqué, d’hyper détail, d’attaque, d’impact, j’en passe et d’autres hyperboles.

Mais plutôt de : richesse tonale, de matière, de fluidité entre les divers plans et instruments, de facilité du suivi du message et de l’intentionnalité des musiciens, de naturel, d’équilibre et de justesse de tempo, j’en passe et d’autres hyperboles. À chacun ses défauts.

Comme visible sur les photos, l’état général est excellent et notamment la partie électronique qui a été entièrement révisée par un spécialiste. Il y a juste le capot supérieur qui comporte des traces d’usure sur les côtés visibles sur les photos.

Je dis simplement que basé sur près d’une centaine de tests de dac, à part quelques rares exceptions

de modèles très chers et utilisant leur propre système de suréchantillonnage, j’ai toujours trouvé

que les dac utilisant cette technique manquaient pour moi d’un certain type d’engagement et ce n’est pas en faisant des comparaisons directes entre différents dac que je me suis rendu compte de ce fait. Non, c’est lorsque j’écoute ou que je suis disposé à écouter de la musique durant un moment plus ou moins long avec l’envie de me laisser aller, que je ressent au bout d’un moment (environ une vingtaine de minutes), ce que certains appellent une fatigue auditive et que je qualifierai de mon côté de lassitude. Une sorte d’anxiété. Ma tête commence à réfléchir à tout un tas de choses. Mon attention est portée ailleurs. Je n’affirme donc pas que c’est de fatigue auditive mais plutôt, l’envie d’aller voir ailleurs ce qui se passe. Loin du bal comme disent les suisses romands.

J’ai beaucoup tourné autour du sujet en tentant de comprendre la chose de façon cohérente et après avoir testé une quinzaine de dac à base d’anciennes puces R2R dans la dernière année, qu’ils soient eux-mêmes anciens ou récents. Certains grandioses, d’autres plus communs mais tous musicaux à mes oreilles, j’en arrive à la conclusion qu’à force de vouloir atteindre les meilleurs chiffres de mesures de jitter, de bruit, de dynamic range, etc., je crois que les constructeurs (souvent des boites

chips électroniques qui n’ont rien à voir avec la hifi, sont en train de passer à côté du message musical. Je ne compte plus les dac annonçant des mesures de dynamic range au-dessus des 120dB qui m’ont semblé purement catastrophiques. Je compte d’ailleurs mettre mes propres conclusions de ces tests sur une web à venir.

Car que mesurent ces machines à part des fréquences ?

Tiennent-elles compte de notion telles que la fluidité, de scène, de timbrage, tempo, séparation, émotion, etc. ?
D’après mes tests, je ne le crois pas.
Je pense que pour les personnes qui avons eu la chance d’écouter de l’analogique (ma jeunesse dans mon cas), le passage au numérique ne s’est pas fait de façon amicale. J’ai laissé tomber la hifi vers l’âge de 20 ans, quelques années après l’avènement du numérique. J’ai toujours pensé que je n’arrivais plus à ressentir les émotions du fait du passage à l’âge adulte et au format cd que je trouvais bien moins romantique qu’une belle pochette vinyle. Mais mon expérience avec les dac à base d’anciennes puces avec son apport de nouvelles émotions me fait de plus en plus douter car c’est bien ces mêmes sensations que je ressent à l’écoute de la plupart des dac modernes : un désintéressement.

Prix en solde : 500,00 Euros

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