AMPLI COMME NEUF, LIVRE DANS CARTON D'ORIGINE AVEC TELECOMMANDE
3990 €, NON NÉGOCIABLE, AU LIEU DE 6600 €
PAIEMENT EXCLUSIVEMENT PAR VIREMENT BANCAIRE OU CHÈQUE DE BANQUE
FRAIS D'ENVOI COLISIMO RECOMMANDE : 120 €
INFOS :
 
Le Lavardin IT X a été le premier intégré à proposer la technologie à faible distorsion de mémoire. Salué par la presse internationale, l’IT X est un intégré exceptionnel qui distille une grande puissance musicale. Avec lui, la reproduction musicale prend une nouvelle dimension. Dynamisme, détails, subtilités et émotions se répondent pour le plus grand bonheur de la musique. Une grande référence française qui a su dépasser toutes les frontières.
 
Capable d’alimenter pratiquement toutes les enceintes, il offre une réserve de puissance et une musicalité jamais prises à défaut. A associer avec les meilleures sources et les meilleures enceintes, il ne déçoit jamais. Finalement très polyvalent, il sait aussi sublimer des systèmes plus modestes. Aucun propriétaire de cet ampli ne l’a jamais regretté…
 
 En résumé : un amplificateur totalement hors du commun, unique et incomparable, qui surpasse aisément et de très loin tous les amplificateurs intégrés même à des tarifs bien plus élevés. Une écoute sublime , ressentie et c'est assez exceptionnel pour le noter, par 100% des critiques français ou mondiaux depuis plus de 25 ans !
 
La version IT x est la plus récente, la plus perfectionnée...
 
 
Les Plus Produit :
 
Musicalité hors normes
Réalisme de l’écoute
Sobriété et qualité de fabrication
Puissance infaillible
Entrées 4 sur connecteurs cinch dorés montés individuellement
Impédance d'entrée 10Kohms
Sensibilité 330 millivolts
Sortie ligne "tape" sur connecteurs cinch dorés montés individuellement
Entrée phono aucune
Sélection d'entrée commutation masse et signal par relais scellés avec temporisation
Contacts alliage or, argent, palladium
Puissance de sortie 2x55W RMS sous 8 Ohms / maximum 2x110W sous 2 Ohms
Impédance nominale 8 Ohms
Distorsion harmonique inférieure à 0,001% à la puissance nominale
Technologie Circuits à faible distorsion de mémoire exclusivité Lavardin Technologies
Dimensions H 120 L 430 P 300 (mm)
Encombrement H 135 L 430 P 340 (mm)
Matériaux alliages d'aluminium non magnétique
usinés, anodisés et laqués
Masse 12 Kg
Consommation Continue 35W ; Maximum 400W

DIAPASON
Qualité musicale 6/6 : *** ***
par J.M. Piel

40 étoiles sur 42

... A la différence de la quasi-totalité des amplificateurs à transistors, la sonorité de ce Lavardin se stabilise vite. Quinze minutes suffisent. C'est une écoute de laboratoire, musicale et expressive, qui permet d'entendre sans effort des détails instrumentaux noyés par les autres électroniques. La définition allie au plus haut degré la précision et la finesse, sans raideur, sans sécheresse ni dureté. Sur ces points, le Lavardin semble sans concurrent, même à des prix beaucoup plus élevés. Nous sommes sûr que ce Lavardin atteint des sommets de transparence rarement - ou même JAMAIS - atteints."

Le temps retrouvé par Jean-Marie Piel

Depuis la venue du transistor, la HiFi de haut de gamme se cherche. Elle s'éparpille et fait feu de tout bois. Elle saute d'une explication théorique à une autre, pour s'en remettre finalement à un empirisme qui tient plus de l'art culinaire que de la science. Un ingénieur français a essayé de comprendre les raisons majeures d'une telle dérive. Le moins qu'on puisse dire est que, depuis quelques années, le HiFi louvoie (la Hifi de haut de gamme, celle qui court après une certaine perfection). Jamais elle n'a été aussi tiraillée entre la subjectivité et l'objectivité. Jamais elle n'a paru aussi partagée entre ceux qui écoutent et ceux qui mesurent. Résultat : une instabilité galopante qui prend la forme d'un facheux pied de nez pour les scientifiques. Après vingt ans bien sonnés d'utilisation du transistor la voici qui retourne aux tubes! Car il faut se rendre à l'évidence. Le phénomène s'amplifie... Un tel retour aux techniques du passé est pour le moins troublant. D'autant plus que les partisans ne semblent d'accord que sur un point ; les tubes "sonnent" mieux que les transistors. Quant à savoir pourquoi... Sony a pourtant pris la chose très au sérieux. Quelques-uns de ses meilleurs ingénieurs ont travaillé sur le sujet durant des années avec d'énormes moyens et sans résultats. De quoi désespérer! Fautes d'explications, d'autres japonais ont joué à fond la carte de l'empirisme : "tentons de faire des transistors (les Mosfets) dont les modes de fonctionnement s'apparentent à ceux des tubes". Ainsi au fil des années on a vu apparaitre une multitude de nouveaux circuits vite tombés aux oubliettes mais cherchant à approcher le son tube....

D'après un brillant ingénieur français connu sous le pseudonyme de Héphaistos et dont les découvertes pourraient bien révolutionner les techniques audio, la recherche en haute-fidélité s'est enfermée dans le même type d'erreurs fondamentales depuis la naissance du transistor . Pour tenter de reproduire la musique, on a pensé à tout sauf au temps. On a basé toutes les modélisations sur des mesures statiques, qui écartent le temps. On n'est pas sorti des théories de Fourrier : puisque tout signal audio peut se décomposer en sinusoides, autant concentrer les investigations sur ce type de signal . Il a le mérite d'être permanent, stable dans le temps, donc facile à analyser.
Malheureusement, la musique est une organisation temporelle de signaux audio. Elle n'existe que dans le temps. Or une analyse rigoureuse des circuits électroniques révèle des phénomènes de mémorisation parasite des signaux. A la différence de la mémoire de l'eau (!), cette mémorisation des circuits et des composants est parfaitement mesurable . On s'en doute, une telle découverte va bousculer beaucoup d'idées admises. Aussi, tout le travail a-t-il été ensuite de concevoir des circuits réduisants le plus possible ces phénomènes de mémoire. Des prototypes(*) fonctionnent et leur reproduction sonore nous a paru d'un naturel et d'une pureté jamais atteints à ce jour . Gageons qu'ils réconcilieront durablement techniciens et mélomanes et, qu'en conciliant les avantages du transistor (faible distorsion harmonique) et ceux du tube (faible distorsion de mémoire), ils permettront à la haute-fidélité musicale de sortir enfin de l'empirisme où elle s'enlisait.
(*)Lavardin Technologies

 
LE MONDE DE LA MUSIQUE
Une rigueur toute cartésienne, par P. Venturini
 
Appréciation globale : ****
4 étoiles sur 4
 
"Il ne faut pas bien longtemps pour vérifier le bien-fondé des théories du concepteur et ses incidences auditives. 
Le "Model IT" restitue en effet la musique avec une précision, une clarté et une vigueur singulières".
Tout se passe comme si l'on avait ôté un voile de la face avant des enceintes.
La musique, comme éclairée de l'intérieur, présente alors un relief supérieur, des attaques tranchées, une aération plus nette, des contours plus visibles."
"Et quel plaisir d'entendre toutes les informations gravées dans un disque ! Rien n'échappe aux oreilles aiguisées du "Model IT" : ni les qualités ni les défauts d'une prise de son. Sans rien de démonstratif, car l'équilibre spectral est très neutre, cet amplificateur est un redoutable révélateur. Mais d'un disque à l'autre, l'environnement musical change complètement."
"Pas coloré dans le milieu et le bas du spectre, le Lavardin n'est pas de ces appareils qui enjolivent la réalité et la ouatent confortablement de sonorités moelleuses."
"Identifier tel ou tel interprète selon son toucher, son phrasé ou sa sonorité devient alors plus facile."
"Dynamique, raffiné, lucide, cet amplificateur satisfera aussi bien les amateurs de réalisme sonore que les professionnels du son."

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